Super Football Têtes: La Ligue

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l’ami, tu ne feras rien. Le gagnant. Mesdames et messieurs : Lyonheart, le roi de la jungle. N’insulte plus jamais un de mes clients. Si Russell et moi avons des ennuis, on a du personnel de sécurité payé pour les régler. C’est compris ? Oui. Bien. C’est quoi, cette histoire de voyage à L.A. ? Je pourrais t’organiser un autre combat en moins d’une semaine. Plus d’argent pour tout le monde, cette fois. Ça dépend de toi, Lyon. Je vais à Los Angeles. Qu’y a-t-il de si important à Los Angeles ? D’accord. Pourrais-tu revenir d’ici mardi ? Non. Rends-nous service. Discutes-en avec ton gérant. Mon gérant ? Oui, oui. Écoutez. Mon gars veut aller à L.A. Il a ses raisons. On reviendra quand on sera prêts à revenir. Vous me comprenez ? Pas vrai, mon vieux ? Laissez-moi vous dire une chose. Ce que j’ai fait ce soir, je l’ai fait pour ma famille, pas pour vous ni pour moi. Tu as gagné $. C’est un gros montant pour une histoire d’un soir. Crois-tu gagner autant ailleurs ? C’est moi que ça regarde, pas toi. Arrête la voiture. Et si on t’organisait un combat en Californie ? On a un circuit là-bas aussi. Organise-le pour quelqu’un d’autre. Et arrête la voiture. Ces $ ne dureront pas aussi longtemps qu’il le croit. Mon numéro personnel, au cas où il changerait d’idée. Hé ! L’ami. Arrête de faire le clown, veux-tu ? Merde, sais-tu à quelle distance se trouve l’aéroport ? Allez, mon vieux. Il n’y a que toi et moi. J’ai laissé les deux frimeurs loin derrière. C’est bon. Écoute, je comprends. Mon frère m’a fait gagner de l’argent, alors je le laisse seul dans la rue. C’est bon. Va jouer les méchants tout seul. On verra si tu te rends loin sans mon aide. Merde. Vas-y. Attends un peu. Espèce de poseur. Ce soir, je me suis battu pour toi. Je n’ai pas gagné assez, c’est ça ? Attends un peu. Tu en veux plus ? Ne parle pas d’argent par ici, mon vieux. Si les gens apprenaient qu’on a $ en poche, on ne se rendrait même pas au coin. Remets ton argent dans ta poche. C’est ça. C’est en plein Jeux Oui, oui. Écoute, mon vieux. Écoute. Prenons un taxi et partons d’ici, d’accord ? Oui. Viens. Hé ! Regarde. Un téléphone. C’est ce qu’il nous faut. Hé ! Écoute-moi. Oui. Écoute-moi. Je te tirerai d’affaire, d’accord ? Oui. On va s’en sortir. Viens, mon vieux. Dieu est clément, tu le sais bien. Viens, l’ami. Hé ! Oui, oui. Tu cherches un gars honnête ? Tu m’as. Je vais bien te conseiller. Le voilà. Tu vois ? Hé ! Que se passe-t-il, l’ami ? La ferme. Tu veux te servir de notre téléphone ? Ça va, on ira ailleurs. N’y pense plus. Tu n’aimes pas mon téléphone, l’ami ? Combien veux-tu pour le téléphone ? Laisse-moi lui parler, mon vieux. La ferme, le Noir. Je veux entendre ce que le petit Blanc a à dire. C’est mon quartier, salaud, c’est moi qui pose les questions. Combien veux-tu payer ? Il n’a pas d’argent, crétin. C’est moi qui ai l’argent. Et je vais te botter le cul. Tu n’auras rien. Le salaud va payer, à présent. Allez, l’ami. Vas-y. C’est ton jour de chance. C’est ça. Je veux un taxi. Pensez-vous que je vais marcher jusqu’à l’aéroport ? Comment, vous n’envoyez pas de taxis dans