Super Coupe du monde de la Fièvre

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Mais seulement parce que vous avez fait appel à mon cœur hippique. Disons huit mark ? Cela vous va t’il ? Je paye n’importe quel prix !- Très bien. Non. Nous allions juste mettre le premier pied dans la loge, lorsque “Don Juan”, comme je vous le racontais, arriva en ligne d’arrivé. Vous auriez du voir Charly ! Ce que vous avez à me dire, n’est pas un secret. Alors, lâchez le morceau ! Le cher monsieur Plischke voudrait raconter son histoire jusqu’à la fin. Vous avez une constellation, comme elle n’arrive que rarement, oui. Rarement ! Uranus en opposition à Saturne. Cher monsieur Quint, j’ai toujours vécu avec un brin d’opposition. Ne prenez pas cela à la rigolade Pensez à Wallenstein ! Wallenstein ? J’entends toujours parler de Wallenstein. N’était-ce pas le cheval pour long parcours de Grades ? Messieurs, vous pouvez bien vous amuser à mes dépends, ce qui n’est pas gentil de votre part ! Ne prenez pas cela si au sérieux monsieur Leutner ! Vous m’excuserez messieurs ! Voici l’adresse souhaitée, Leutner. Dites moi, quelle heure est-il ? Ma montre s’est arrêtée. Onze heure cinq, monsieur le consul ! Garçon, l’addition ! Merci. Alors, à plus tard. Dépêche toi. Monsieur Leutner, il ne s’agit pas seulement des étoiles. C’est dur à expliquer, mais croyez à mon pressentiment. Faites attention, particulièrement dans les jours prochains. Cela me suffit maintenant, mon cher Quint ! Croyez-moi, vous êtes en danger ! Garçon, où êtes-vous donc ? J’arrive ! Juste devant la ligne d’arrivée, la victoire dans la poche ! Alors garçon, qu’il y a t’il ? Oh, Je vous prie de m’excuser Monsieur le conseillé ! Le service de nos jours. Comment ? Oui, oui. Il y a t’il encore quelqu’un aux cuisines, Mademoiselle Maria ? Non. Vous désirez ? Un plateau suédois, en pleine nuit. Pour mes amis dans la salle rose. Mais Zühlke, nous pouvons le faire nous même ! Qu’avez-vous donc contre ces messieurs dames là-bas ? Rien, absolument rien ! Ils ne me plaisent pas, c’est tout, j’ai bien le droit de le dire ? Ah, les gens du turf ont tous un petit tique. Particulièrement le soir avant la course. Il y a quelque chose qui me dérange avec ces gens. De nos jours, on ne peut pas choisir ses clients. Et en plus, ils payent ce qu’il faut. Mon cher consul, je ne crois pas à votre favori “Königsleutnant”! Avec son poids, il ne tiendra jamais la distance. Pensez ce que vous voulez. Je ne peux pas forcer votre bonheur. Bonne nuit, mon cher Zühlke. Pour qui allez-vous parier demain ? Comme madame la baronne. “Wildvogel” bien sûr ! L’écurie du consul Pallant. Vous voyez ! Zühlke le dit aussi. Alors là, je m’étonne ! On a le droit de vous inviter en dehors de l’hôtel ? Demain peut-être, pour la course ? Je crois que mon jeune chef ne le permettra pas. C’est dommage. Alors, bonne nuit ! Bonne nuit ! Bonne nuit, madame la baronne ! Bonne nuit ! Parfois, je vous envie. Mais je vous trouve très aimable ! Bonne nuit, consul ! Bonne nuit baronne ! Vous êtes très gentil ! Bonne nuit ! Bonne nuit ! Bonne nuit tout le monde ! Monsieur Zühlke, pourriez-vous conseiller à monsieur Leutner