La Vitesse De La Super Ligue
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Je peux descendre ici. Nous sommes assez proches. Vous allez être en retard. Ne t’inquiète pas. Mon fils se couche vraiment tard. Belle chanson. Ici c’est bien. Dis-moi où c’est, tu ne vas pas marcher sous cette pluie. Ne vous inquiétez pas. C’est juste là. Laisse-moi t’accompagner, sinon tu va mouiller ton costume. Pas besoin. Ça ne prendra qu’une minute. Lili ! Tu ne peux pas rentrer. Ça porterait malheur. Malheur ? Patientez. Nous y sommes presque. Le fiancé ne peut pas la voir avec la robe. Chérie, va dans ta chambre. Bravo. Merci, chef. Merci de m’avoir amené, et pour le costume. Prends soin de lui, nous en avons besoin pour l’enquête. Tu peux le garder, c’est un cadeau. Tu as sauvé notre garçon, tu nous as sauvé. Maintenant ? Oui. Bonne nuit. Et puis Papa Mole rentra à la maison et toute la famille était à nouveau ensemble. Et ils vécurent heureux jusqu’à la fin de leurs jours. Bonne nuit, papa. Dors, mon fils. Si tu veux, je peux t’apprendre un autre petit jeu. Si tu oses. Qu’est-ce que vous regardez ? Tu vois cette femme là-bas ? C’est une sorcière. C’est qui ? La sœur de Flocon. Elle le rendait fou. Pourquoi ? Je ne sais pas. Des affaires de famille, le ranch, le haras. Flocon disait qu’elle ne se souciait que de deux choses dans la vie : ses cheveux et l’argent. Ses cheveux ? Oui, sa coiffure. Il n’y a rien de mal à ça. Tu portes le tien si court. Si je laisse pousser, il devient tout frisé. Tu n’as pas de scrupules, je t’ai appelé pendant un mois. Rends-moi le Berni. C’était quoi ça ? Attends, attends. Tu veux me faire une faveur ? Va acheter des hot-dogs. Vous êtes sûr ? Même le cuisinier c’est rendu compte que c’était une mauvaise copie. Je n’ai pas ce Berni. Si, tu l’as. Le Berni et les autres aussi. C’était qui ce type ? Aucune idée. Ne me regarde pas. Et ces vêtements ? Il me les a donnés. Comment est-ce que quelqu’un que tu viens de rencontrer t’achète des cadeaux ? Ne soyez pas jaloux, chef. Il a dû avoir pitié de moi parce que depuis le début, je lui ai dit que je n’ai pas un sou. Je ne sais pas mentir. Il a essayé quelque chose ? De coucher avec toi ? Il m’a indiqué un hôtel et… il a voulu me toucher. Quand t’a t-il touché ? Dans la décapotable, lorsque nous venions ici. Et qu’est ce que tu as fait ? Je lui ai dit que j’étais confus, que nous pourrions être amis. Il m’a dit de ne pas jouer avec ses sentiments. Je ne crois pas que ce mec est le meurtrier. Moi non plus, mais ça doit être lui. Qui d’autre pourrait l’être ? Ce mec correspond parfaitement au profil. Pas du tout. On arrête. Je crois que tu deviens trop friand du suspect. Non, chef, c’est pas ça. Je ne pense pas qu’il soit le meurtrier. Il ne m’effraie pas. Il ne t’effraie pas, tu as pitié de lui, tu as des sentiments pour lui ! Dis moi, tu es un pédé toi ? Non, chef. Je crois. On arrête. Permettez-moi de rester sur le coup. C’est fini. Ne t’inquiètes pas, ce n’est que du travail. Chávez, laisse tomber. Je ferais mieux d’y aller. Les hot-dogs ? Il n’y en a plus. Ça te va bien, ça. Tu trouves ? Oui, j’aime bien. Le gars avec qui tu parlais était à la galerie.