Grand Hummer Foot 3

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Enjambez ! France ! France ! Dieu aide ! En avant ! En avant pour la France ! Allez mes braves, mes bons soldats, vite! – Aux murailles ! Archer ! Dépêchons ! Tous ensemble, aux murailles ! J’ai eu la sorcière ! Elle est à terre, à terre ! Je l’ai eue, j’ai eu la sorcière ! Victoire, Angleterre a vaincu ! En avant ! Il faut l’enlever, Jeanne. Tiens mon amulette, Pucelle. Ça t’ôtera la douleur. Merci, mon ami. Non, merci.. Plutôt mourir que d’user de magie. Je vais oindre ta blessure, avec du saindoux. Oui. Attachez-moi. Je vais me reposer là jeux un moment. Père Pasquerel, vous entendez ? Les Tourelles sont tombées ! Non, Jeanne. C’est la sonnerie de chamade. L’ordre de retraite a été donné. Aidez-moi à enfiler l’armure. Enfant, tu es blessée. Je ne sens plus rien. Non! Non, hommes de France! N’abandonnez pas ! Courage, ne battez pas retraite ! La Hire, Dunois, Alençon, revenez ! Amis, venez avec moi. On ne doit pas lâcher. On a fait tout notre possible pour aujourd’hui, Jeanne, les hommes sont à bout. Les Anglais aussi. Nous avons tenu conseil et décidé la retraite. Vous avez tenu votre conseil et moi j’ai tenu le mien. Et je vous le dis, le conseil de Notre Seigneur est meilleur et plus fort que le vôtre. Nous n’avons qu’à y retourner et le fort est à nous ! Si elle veut attaquer, on attaque. Quand ma bannière touchera le mur, la victoire sera à nous ! Sonnez les trompettes, et en avant, tous ! En avant ! Suivez la bannière ! Debout, et aux murailles ! Ne lâchez rien ! Pour la gloire de la France ! Aux murailles ! Aux murailles ! Français, Français ! Pas de retraite ! À nous la victoire, Dieu le veut ! Aux murailles ! Aux murailles ! Aux murailles ! Escaladez ! Levez haut la bannière ! Sus à l’ennemi ! En avant, voici la victoire ! Glasdale ! Entrez hardiment, la victoire est à nous ! Glasdale, rends-toi, Dieu l’ordonne ! Glasdale, rends-toi quand il est encore temps. Glasdale, rends-toi et sauve ta vie. Je ne me rendrai jamais à toi, espèce de sorcière ! Tu m’appelles sorcière, mais j’ai grand-pitié de ton âme et de celle de tes hommes ! Rends-toi au Roi du ciel ! Jamais ! Pas à toi, suppôt de Satan ! Puisses-tu brûler en enfer ! Mourir par le feu, quelle horreur ! Jeanne! Jeanne, on t’a cherché partout. Pourquoi pleures-tu ? À cause de ces morts. Toutes ces morts horribles. Et c’est moi qui les ai tués. Tué qui ? Tous ces hommes. les nôtres et l’ennemi. Tu pleures sur les Anglais, maintenant ? Je n’ai pas de haine pour les Anglais. Je parlais avec bravache, haut et fort, pour que vous soyez unis derrière moi. Je pensais que la victoire serait une belle chose. Regardez toute cette horreur, ce sang jeux Il n’y a jamais eu plus belle victoire. Et c’est la tienne. La cité entière attend pour te recevoir. Tu dois conduire l’armée à travers les rues. Non ! J’ai tout ce sang sur mon âme. Je ne peux pas. Jeanne, tu as redonné confiance au peuple de France et à la cité d’Orléans, et ils veulent de voir. Viens, Pucelle d’Orléans. Jeanne, touche mon fils. Ton toucher est meilleur que le mien. “Jésus, Maria. Grand