Football De La Rue 3D
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Pour Le jeu: Local Save Cilck
Coup: N
Rouille: M
Névrosée ? Non, je n’ai pas dit ça. Mais je l’étais. J’avais peur de tout. Du noir, du vent, du tonnerre. Comme la plupart des enfants. Mais ça leur passe. Jane, à quoi sert ce pavillon d’été ? Penny, chérie, ce que vous avez vu hier soir, vous avez dû l’imaginer. Je le sais. Je suis curieuse de savoir son utilité. On y garde des vieux meubles. On ne s’en sert plus, autrement. Chérie, il faut que je sorte, ce matin. J’ai demandé à Robert de vous montrer les environs. Vous aurez besoin de lui. Non, Je conduirai. On ne vous laissera pas seule ici. Jane, ça pourra aller. Non, pas du tout. Eh bien, il faut que j’aille me changer. Papa a dit quand il reviendra ? Pas exactement, mais je ne crois pas que ce soit aujourd’hui, ma chérie. C’est très joli, ici. Si paisible. Oui, c’est mon endroit préféré. On nage ici, l’été. Je ne nage pas. A cause de vos jambes ? Avez-vous essayé ? Non. Vous vous débrouilleriez sans doute bien. Etes-vous de ces gens qui ne parlent pas de leurs… Leurs malheurs, dit-on ? Je ne crois pas. Les gens n’en parlent pas de crainte que ça vous bouleverse. Je suppose que oui. Pourquoi en fait-on une grande affaire ? Cela fait-il longtemps ? Neuf ans. Vous étiez à cheval ? Le cheval était sur moi. C’est la première fois que vous en plaisantez ? Je crois bien. Pourquoi vous cachez-vous ? Me cacher ? Vous les portez pour ça. Comme quelqu’un qui tourne le dos au soleil en parlant. Vous croyez ? N’est-ce pas vrai ? Je ne sais pas. Je n’y ai jamais vraiment songé. Je me sens plus en sécurité derrière. Je vois les yeux des gens qui ne voient pas les miens. Pourquoi cette insécurité ? Mes jambes, je suppose. Etre physiquement dépendante d’autrui n’améliore pas la confiance en soi. Vous me semblez assez indépendante. Mon attitude hier soir n’était pas si indépendante. Un dîner trop arrosé. Vous avez peut-être raison. Sûrement. Hallucination alcoolique ? Je ne vous ai pas remercié, Bob ? De quoi ? De m’avoir tirée de là. Ça fait partie de mon service. Vous travaillez pour mon père depuis… Deux ans. Ça vous plaît ? Je conduis de belles autos je vis sur la Côte d’Azur. Et de travailler pour lui ? Je le vois assez peu. Mme Appleby a l’auto en général. Il sort à peine. C’est drôle. Il ne vous a pas demandé de le conduire. Et drôle qu’il ait pris la petite auto. Pourquoi drôle ? Il n’aime pas cette auto. L’autre n’était pas là ? Si. Elles étaient dans le garage ce soir-là. Pourquoi est-il parti le soir ? Vous pouvez me ramener, s’il vous plaît ? A la maison ? Au pavillon d’été. Que cherchez-vous ? Une chose. N’importe quoi. C’était votre imagination, avez-vous dit. Oui, mais il doit y avoir une chose qui a provoqué mon imagination. Comme un cadavre ? Je m’excuse, Penny. Venez à la maison. J’ai une surprise. Quoi donc ? Venez voir. Je m’en occupe, Robert. Quel genre de surprise ? Vous verrez bien. C’est pour vous. Allo ? Penny, ton père à l’appareil, Penny, peux-tu m’entendre ? Qu’y a-t-il, chérie ? Penny ? Oui. Je croyais que tu n’étais plus là, Tu m’entends bien ? Je suis désolé de ne pas avoir été là, Jane t’a dit ? C’est pour les affaires, Quelques jours encore, Prends soin de toi et amuse-toi, D’accord. Merci. Passe-moi Jane, veux-tu ? Oui ? Allo. Penny va bien ? Oui, elle va bien. Dis-lui que je reviens bientôt, Je le lui dirai. Je te manque ? Oui. A bientôt. Au revoir, Au revoir. Voilà. Vous vous sentez mieux à propos d’hier soir ? Penny, vous ne devriez pas retourner au pavillon d’été. Une horrible expérience qu’on ne veut pas répéter. Je me débrouillerai ici, Jane. Chérie, le Dr Gerrard vient déjeuner. Ça ne vous dérange pas ? Non. Bien sûr que non. Puis-je entrer ? Oui. Il s’agit de ce que j’ai dit au pavillon d’été. Suis-je pardonné ? Oui, bien entendu. Et cette grande surprise ? Mon père. Il voulait me parler au téléphone. Plus d’inquiétude, alors ? Je suppose que non. Je vous emmène faire un tour plus tard ? Le Dr Gerrard viendra déjeuner et restera peut-être. Il faut donc que je m’habille. Vous devez sortir ? S’il vient, je devrai aller le chercher. Il n’a pas d’auto ? Si, au garage. Il l’a défoncée l’autre semaine.