Extraterrestre Aventure Temps
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C’est trop tard. Hélène, j’ai essayé. Je suis navré. J’ai essayé. Tout ce qu’il voulait, c’était revoir ton visage. On devrait entrer. Je ne veux pas que tu entres. Je ne veux pas que tu t’approches de moi ni de ma fille. C’est toi qui as foutu son père dans la merde. C’est faux. Vraiment ? Il a porté une cargaison à Amsterdam pour toi. C’est ce que j’ai dit au policier. Il était intelligent. Je ne voulais pas qu’il aille en prison. Vous alliez fonder une famille. Épargne-moi l’histoire. Tu es ma famille. Il aurait pu mieux s’en tirer si tu n’avais rien dit et l’avais laissé aller en prison. Il n’était pas assez fort pour supporter la prison. Ça l’aurait achevé. Tu l’as laissé dans la rue, et c’est ce qui l’a achevé. Non, Hélène. Je n’ai rien de plus à te dire. Hélène, s’il te plaît. Hélène, toi et Nicole, vous êtes ma famille. Vous êtes ma seule famille. Laissez-moi essayer de vous aider. Hélène. C’est pour t’aider à payer tes comptes. Je ne veux pas de ton argent. Ne comprends-tu pas ? Je ne veux plus avoir affaire à toi. Fiche le camp avant que j’appelle la police. Tu as l’air prêt à te jeter du haut d’un pont. Tiens, prends du poulet. Non merci. J’ai besoin d’autre chose. Tu n’as même pas besoin de le dire. Je suis devin. La Légion étrangère ? Les gars qui portent des chapeaux blancs ? Je pensais que la Légion étrangère n’existait que dans les vieux films. J’aurais bien voulu que ça ne soit qu’un vieux film. Hé ! Hé ! Où veux-tu aller à présent ? Veux-tu trouver des filles, aller danser ? Tu me comprends ? Où veux-tu aller ? J’ai des affaires à finir. Des affaires personnelles. Est-ce que je peux t’aider, mon vieux ? Oui, peut-être. Écoute. Trinquons à ça. Lève ton verre. C’est bon. Tromper le diable et ses enfants aveugles. Écoute, je dois passer un coup de fil. Je reviens tout de suite, d’accord ? Oui ? Oui. Où vas-tu ? On doit se trouver un endroit où rester pour la nuit, non ? Je surveille tes arrières. Je reviens tout de suite. Hé ! Un téléphone. C’est bon. Lève-toi. Hé ! Regarde, Dorothy. On n’est plus au Kansas. Où va-t-on ? Chez une vieille amie à moi. Là. C’est là qu’on va, juste là. Es-tu sûr que ça va ? Oui. Elle ne se sert de cet endroit que quand elle est à L.A. pour affaires. Vas-y. Fais-le tour. C’est à toi pour la nuit. Et toi ? Je serai à côté. C’est aussi à elle. D’accord. C’est bon d’avoir des amis, non ? Va faire le tour. Détends-toi, mon vieux. Mets-toi à l’aise. Bonjour. Joshua m’a dit qu’il te fallait un endroit pour passer la nuit. J’espère que ça t’a convenu. Oui, merci. Je dois partir. Excuse-moi. Pars, alors. Quand je suis entrée ce matin, tu étais étendu sur le lit comme un vieux jeté. Qu’est-il arrivé à mes vêtements ? Je les ai donnés au valet et lui ai ordonné de les brûler. Tu lui as dit de brûler mes vêtements ? Sois réaliste. Il y a des boutiques tout près. On trouvera sûrement le moyen de remplacer ta superbe garde-robe. Je veux ravoir mes vêtements. Pas question. Je t’emmène magasiner, même si je dois te traîner de force. Pourquoi me traites-tu si bien ? Essaies-en un autre. S’il vous plaît.