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Je voulais savoir Jeux Comment vous m’avez retrouvée au milieu de la jungle ? L’amour, Viviane, l’amour. Cap sur Sissi, Viviane ! Ils sont là, bwana ! Si t’es un homme, Deloux, amène tes témoins demain à h, dans la plaine de Mortefouille. Prends soin d’elle. C’est fini. Oh, c’est superbe, ici ! Un bébé chevreuil ! Je sens que je vais me plaire ici, moi. Je vais arriver pile à l’heure pour le bal de ce soir. C’est ma scène préférée. Prévenez en haut lieu que je suis pas très valse. Ça me fait vomir. Je suis plutôt slow. J’avais réservé une chambre dans La Grande vadrouille Jeux Jeux je vais plutôt vous emmener dans La Boum. Ne le prenez pas mal. Je ne vais pas venir avec vous et vous ne resterez pas. J’aurais pu vous aimer Jeux Jeux mais il y a des règles dans le cinéma, il faut les accepter. Helmut ! C’est qui, ce mec ? Mon amour ! Liebling, quelle joie de vous revoir. Venez, tout le monde vous attend. Vous allez faire sensation au bal. Viviane, ne me faites pas ça. Par pitié ! Viviane ! Accordez-vous un peu de repos, mon ami. Cinéman Jeux Tu parles ! Allez, cocher. A la gare Georges Méliès. Eh oui, je suis de retour ! Fallait bien que ça arrive un jour. N’est-ce pas, De Groot ? J’ai de vieilles copies à vous rendre. Mamesse, sur . C’est pas très rigoureux, mais c’est plein de bonnes intentions. Combourieux, en progrès. sur . Chut ! Vous êtes pas forcément fait pour la mathématique Jeux Jeux mais je sens une intelligence. Merci. Une personnalité. De Groot, je vous ai mis sur . Je vous aime bien. Je sais que vous avez eu des problèmes familiaux, vous auriez dû m’en parler. Courage, fiston. Faut s’accrocher. Je suis là. Fabienne Jeux Elle a ces longues mains de dentellière A damner l’âme d’un Vermeer Cette silhouette vénitienne Quand elle se penche à ses persiennes Ce geste, je le sais par cœur Pour moi, c’est sûr, elle est d’ailleurs Let’s go ! Et moi, je suis tombé en esclavage Petit Jean, en tirailleur ! De ce sourire, de ce visage Et je lui dis “emmène-moi” Tu m’auras jamais, Craps ! Et moi je suis prêt à tous les sillages Je suis touché au cœur, je crois. Mais elle passe et ne répond pas J’arrive, Viviane ! L’amour, pour elle, est sans valeur Je vous aime, Viviane ! Revenez ! Pour moi, c’est sûr Elle est d’ailleurs Viviane ! Et moi, je suis tombé en esclavage. De ce sourire, de ce visage Et je lui dis “emmène-moi” Et moi, je suis prêt à tous les sillages Vers d’autres lieux, d’autres rivages Mais elle passe et ne répond pas Et moi, je suis tombé en esclavage De ce sourire, de ce visage Et je lui dis “emmène-moi” Allô ? Deloux ? Bravo, mon vieux ! Vous êtes enfin arrivé. Des nouvelles de Viviane ? Elle va bien. Mais vous êtes repartie sans lui rendre sa broche. Et alors ? Faut me la restituer. Il me la faut pour demain matin. Ecoutez-moi bien, Monsieur Richard. Cette broche, c’est tout ce qu’il me reste d’elle. J’y tiens, Viviane comprendra. A la cour de Vienne, les gens sont plus ponctuels. On est à Montreuil. On allait bien ensemble, non ? Dépêchez-vous, on va rater le début. Vous avez raté le grand prix du Derviche.



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