Super L’Euro 2012 de Football GS

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Désolé, mais pour moi, le travail n’est pas encore fini. Pour moi si ! Et ça c’est sûr ! Ne prenez pas cela au sérieux, madame la baronne ! Quand on a la malchance au jeu jeux Un cadeau, un cadeau ! De toute façon, c’est vous qui faites le jeu ! Il faut dire que je préférerais la malchance. Pas vrai mademoiselle Maria ? Vous le pensez vraiment ? Je ne comprend rien aux cartes. Et aussi rien à l’amour ? Vous voudrez m’excuser ? Ah, c’est une fille adorable. Oui. Et quelqu’un comme elle fait le service. Dommage. La fille de la maison, monsieur le consul. Vous allez voir comment un vrai Don Juan arrive en ligne d’arrivée, comme dit le vieux Charly, qu’elle jeux Qu’est ce qu’ils te voulaient ? Que je vous interrompe, mademoiselle Maria ! Mais Plischke, ces vieux trucs s ! Que dites-vous ? J’ai mal entendu ? Des trucs s ? Mais Plischke ! Ces sportifs en papier ! Quand un entraîneur comme moi, avec trente ans d’expérience jeux Plischke, racontez-nous plutôt, qui gagnera la course demain ! C’est tout simple ! Celui qui aura le mieux parié ! Depuis quand, vous intéressez-vous aux chevaux, monsieur Leutner ? Vous misez sur qui ? Je ne parie pas ! Cela tiendrait du miracle. Il vous faudrait savoir, monsieur Rieger, que le fils du vieux Leutner, celui du “Turf-Hôtel Leutner”, ne s’intéresse pas vraiment aux chevaux ! Du moins pas trop ! Je mise sur “Wildvogel”! Vous croyez qu’il a une chance ? Je vous en prie, mon cheval ? Eh bien, je crois que vous bluffez de nouveau. Je ne bluffe pas, madame la baronne. Il faut que je gagne demain. En toute confidence, madame la baronne, misez plutôt sur “Königsleutnant”. C’est le favori, il ne peut rien vous arriver. C’est parfait ! Combien vous dois-je aujourd’hui ? Une belle somme, je redoute. Avec une telle mise ! Mais prenez votre temps ! Non, non. Les dettes de jeu, sont des dettes d’honneur. Combien ? Vous avez des dollars, madame la baronne ? Vous avez un regard curieux, cher consul ! Pourquoi parlez-vous si fort ? Mais ma chère, nous sommes entre nous. C’est ce que je veux dire ! Bon, d’accord, j’ai des dollars. Mais je ne paierai pas avec. Oui, malheureusement. Car vous êtes une femme intelligente. Je trouve aussi qu’ils devraient être gardés comme dernière réserve. On ne sait jamais ce qu’il peut arriver dans ces temps incertains. Je peux voir ? Vous pouvez même toucher, si ça vous fait plaisir. Déjà le papier est intéressant. Cela n’existe pas en Allemagne. Auriez-vous l’amabilité, de m’en laisser une paire ? J’ai encore besoin d’urgence d’une paire de dollars. Ce n’est pas possible ? Et pourquoi ? Ma chère, serait-ce trop d’indiscrétion ? Ce n’est pas un secret. Etant, vous même, cavalière de tournoi hippique vous le comprendrez vite. Voyez vous, “Wildvogel” doit demain juste après la course partir sur Paris par fret aérien. Et la compagnie American Overseas Airlines veut bien sûr avoir des dollars jeux Que nous, les Allemands, n’ont pas le droit de posséder ! Quelle époque ! Laissez-vous attendrir. Je vous remercie pour vos bons mots, Conte Lorringk ! Bon, au nom du ciel, d’accord.